06 jan 2009

Méta III


N’importe quoi, cette contrainte. A vue de nez, mon échappée vaut pas moins de [nombre de tags multiplié par différentiel maximal des tags divisé par nombre de jours], euh voyons voir quatre-vingt-dix-neuf fois vingt sur sept, soit oh là là deux cent quatre vingt sept?

Deux cent quatre vingt sept tags par jour?

En moyenne?

Non mais attends je fais combien de posts par jour pour tenir la distance moi là hé ho?? N’importe quoi cette contrainte!

Oui bon ben on va laisser tomber hein. N’importe quoi!

Oui bon vous avez un problème avec la quantité, quoi.

Oh, really? Vous avez trouvé ça tout seul? Et vous gagnez combien de l’heure à débiter ces âneries? Ma carte Vitale, mais bien sûr. Mardi prochain? Impeccable. Une affaire qui roule.

Rideau, la contrainte. Couché, au panier, dodo, sage, là, voilà. Tu commences à quelle heure Ch.? 8h? Oh ben va te coucher va. Ben aut’choz à fout’ que ta gonzess’ en larmes nicht wahr? Foxtrot uniform charlie kilo etc etc. On connaît la chanson.

All I want is to see you in a terrible pain
So fuck you anyway
So fuck you anyway!

Wordle à la volée de ce blog à la con. Tu trouves que le “bureau” prend trop de place? Eh ben t’as gagné un diplôme de psychiatre à la con. Bienvenue.

coda 2 |

Un commentaire pour “Méta III”

  1. los angeles dit :

    pleure pas je t’en prie. regarde, t’as pas besoin de tes tags mis à plat pour continuer, c’était quoi cette idée de niveler les afférences de toute façon. regarde, tu commences en coda 17, et tu files en coda 1, en te disant que tu reprends le même système de tags et le même nombre de posts qu’au cours de la semaine symétrique, mais tu évolues là-dedans en pleine (j’insiste, “pleine”) liberté. ça peut n’être pas que joli sur l’avancée, et il y a d’autres façons de continuer (une autre demain). pleure pas, je t’en prie.

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